07 octobre, 2011

071011

Je tombe sur des images et il y a des parallèles qui se forment. J'exploite :  ici en bas, Roumanie, Maramures, été 2009, avec A - perdus dans le vert et l'humain.







- Glose alors


Nuit nouvelle. Journée couchée sous la misère et remplie de motifs, toute pleine, toute vide, d'une beauté vieille et naïve, les fins traits d'un visage couvert de terre. Du bois brut.



- Appel de l'autre, une parenthèse trouvée


(c'était dans la chaleur affairée des moissons au-dehors, les hommes en chemise ensuée rentrant pour pleurer un instant près du moribond puis ressortant dans l'effort sous le ciel, la paille et sa poussière, l'abus de vin qui décuple les larmes ; ou dans l'hiver triste, quand la mort est banale, nue, de peu de goût)


Vies minuscules, Pierre Michon, 1984.



Puis ce fût le vrai jour avec les vrais habitants du jour, humbles, costumes simples.





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