08 août, 2011

SWst. Euskal transport vert 8 août







(crédit photo : propriété intellectuelle nulle pour les photos nulles, dixit internet)






voiture sans presque poser un pied ; puis un peu ; pays-basque - itaxsu ; kambo ; bardos ; garazi ; +/+ ; en désordre -


   Le vieux fantasme du romantique renaît d’un seul coup et semble possible (le jardin seul, l’abîme passé et le sentier tortueux entre les blocs de granites, les arbres mouillés, pour voir là-bas, etc, etc) 


les gens absents au milieu d’une nature qui explose. Naïve, elle demande toute l’attention de l’étranger (il a des gros yeux qui à la fin de la journée le picotent) - tout semble appel du vertical, appel tout court, variation de vert, gris, jaune, de fleurs sauvages qui grignotent le fossé et les routes sales incurvées.


   Du coup c’est comme si les maisons étaient vides, qu’il n’y avait personne là où la lumière ne se pose pas. Parfois il n’y a personne puis d’autres fois, les fleurs sauvages postmodernistes grignotent tout à coup les neurones du sujet fragile.


    Fantasme rigolo donc.



(traversant passager les collines j’ai vu le vert et les bosses me dirent sobrement bonjour ; rapide comme un virage)

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