09 août, 2011

"Marienbald" ou, ou, ou.




    recroisé avec plaisir fou devant cathodique pas bouillant mais images bouillantes, L'ANNÉE DERNIÈRE À MARIENBAD, par (2x Alain) Resnais aux mains agissantes, Robbe-Grillet ouvrant déjà les enfilades de portes du labyrinthe par l'esprit ; puis le coeur un peu soulevé juste après -




(dernières minutes du film - folles, dernières images,  1961)












    «Le parc de cet hôtel était une sorte de jardin à la française, sans arbre, sans fleur, sans végétation aucune; le gravier, la pierre, le marbre, la ligne droite qui marquaient des espaces rigides, des surfaces sans mystère. Il semblait au premier abord impossible de s’y perdre. Au premier abord. Le long des allées rectilignes, entre les statues aux gestes figées et les dalles de granit où vous étiez, maintenant, déjà, en train de vous perdre pour toujours dans la nuit tranquille, seule avec moi.»

[89mn30]







/ NOIR. stop/




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